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Le stress métabolique


Ce dernier n’agit pas directement sur les fibres musculaires, mais plutôt sur l’environnement au sein d’un muscle. Une multitude de réactions chimiques permettra d’arriver à l’hypertrophie musculaire.


Ces réactions vont se déclencher avec un entrainement très contrôlé, voir lent en phases excentriques et concentriques, couplé avec plus de séries et de répétitions. Le TUT (temps sous-tension) ainsi stimulé, recrutera les fibres types 1 et 2l, à condition s’approcher de l’échec musculaire.


Certains exercices de musculation donnent un temps de répit au muscle, c’est-à-dire que la tension appliquée sur celui-ci est quasiment nulle suivant la position.

Pour exemple, au squat, même si le poids est extrêmement lourd, la tension au niveau des cuisses en début de mouvement est moindre. C’est l’ossature qui supporte la charge. Par conséquent, ce n’est pas optimal pour le stress métabolique.


En bref, travailler en tension continue permet d’arriver plus facilement à la sensation de brûlure musculaire en plus d’obtenir une meilleure congestion.


Dans le cas du squat, cela reviendrait à ne pas tendre les jambes à la fin de chaque répétition…


Pour ceux qui ont du retard sur certains muscles après des années de training avec un entrainement mécanique, donc lourd en séries courtes, la réponse hormonale avec cette méthode peut être intéressante. De plus la combustion des graisses sera plus élevée et l’ endurance nettement améliorée.

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